La semaine dernière, le destin m'a fait un clin d'oeil... enfin est-ce le destin? Les plus septiques diront que non. Du moins, il doit y avoir une raison pour qu'à ce moment précis de ma vie je reçoive ce courriel dans ma boite de réception.
Une petite mise en contexte;
Depuis que j'ai commencé mon BAC en journalisme, je me dis que je vais devoir acquérir de l'expérience de travail loin des grands centres comme Montréal. Faire mon bout de chemin et apprendre de mes erreurs quoi! Depuis septembre je rêve, à voix haute, d'aller travailler dans l'ouest canadien. Les rocheuses m'appellent, une autre culture, un autre rythme de vie… En faisant le calcul, quand j'aurai mon BAC (l'an prochain!), ce sera Vancouver 2010 quelques mois après. Tout un concours de circonstance. Une raison de plus qui me pousse à vouloir suivre mon rêve.
....
Ce fameux courriel concernait justement les jeux olympiques d'hiver 2010. Les organisateurs sont à la recherche de bénévoles. Le courriel disait : « une expérience de vie sans pareille », c’est vendeur et en ce qui me concerne ça fonctionne. Ce n’est peut-être pas le destin, mais ça me fait encore plus rêver !
Vous me direz que tout cela n’est que l’an prochain, mais je ne veux pas me retrouver à la dernière minute à me dire : « Où ? Quoi ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? »
Donc, j’y rêve, j’y pense, je m’y prépare. J’ai besoin de changement et d’aventure ; je n’aime pas ce qui stagne. Dernièrement, depuis septembre je dirais, j’ai l’impression que ma vie stagne justement. Ma vie est au beau fixe. Une routine qui devient déprimante et sans touche d’extravagance (ou si peu…).
Lorsque j’ai du temps libre, je me permets d’y penser. Mon copain est d’accord avec moi et ma famille aussi ! Donc, aucune raison d’être retenu au beau fixe. Mais je dois revenir à la réalité par moment… note à moi-même :c’est dans 1 an et demi tout ça !
Enfin, rêver n’a jamais fait de mal à personne. Je persiste à croire qu’en y pensant plus, j’aurai encore plus le goût de réaliser ce rêve lorsque viendra le moment opportun !
D’ici là, retour à la routine, qui a un petit goût amer… école, travail, repos !
mercredi 20 février 2008
lundi 11 février 2008
Les Lavigueur la vraie histoire...
On en parle encore, peut-être est-ce la raison pourquoi on en parle à Tout le monde en parle. La série télévisée connaît la même tournure médiatique que la famille en 1986. Tout le monde a sont mot à dire; tout le monde y va de son commentaire. Le plus récent : l’auteur, Jacques Savoie, n’a pas représenté la vraie vraie histoire. L’auteur a extrapolé, il a « rempli les trous ». Les médias ont critiqué la façon dont ils sont représentés, l’agente immobilière clame haut et fort à qui veut l’entendre qu’elle n’a jamais vendu l’information de l’achat de la maison sur l’île aux Pruches contre un pot de vin, les avocats sont scandalisés de l’image qu’on a reproduit d'eux, etc. Mais comme l’explique Jacques Savoie, la vraie histoire concerne l’histoire des Lavigueurs; plus particulièrement la version d'Yve Lavigueur. Tous les personnages secondaires ont des noms fictifs, leur personnalité et leur propos résument ce qui s’est déroulé à l’époque. Une sorte de pot-pourri de toutes les versions des gens qui étaient dans l’entourage de la célèbre famille.
À prime à bord, l’histoire est une «série télévisée », alors à proprement dit il faut savoir en prendre et en laisser. Pour rendre l’histoire intéressante aux yeux des téléspectateurs il est normal que l’auteur ait romancé le tout. Puisqu’il y a seulement deux membres de la famille Lavigueur (Yve et Sylvie) qui sont encore en vie, ils ne pouvaient pas être partout à la fois, c’est donc impossible de connaître la vraie vérité. Comment savoir, ou tout simplement se souvenir, comment Louise se sentait sous l’emprise de Johné ou savoir comment s’est senti Michel dans toute l’ampleur qu’a pris le tourbillon médiatique? Ils peuvent avoir une idée, un souvenir, mais encore là personne ne peut réellement savoir ce que les autres pensent ou ont pensés.
Ce qui est important à retenir de cette histoire c’est que chaque être humain a des sentiments. Il n’est pas juste de profiter de la naïveté des uns pour vendre des gros titres de journaux ou d’épier leur moindres faits et gestes dans le but de trouver une faille ou un moment inédit. Personne ne mérite d’être traité comme des animaux en cage. Comme le dit le dicton : «l’argent ne fait pas le bonheur», les Lavigueur n’ont même pas eu la chance de profiter du petit miracle qui leur est arrivé le 2 avril 1986. Le « conte de fée à 7 650 267$ », comme l’appelait le Journal de Montréal, a pris l’allure d’un cauchemar. Un cauchemar qu’ils (les Lavigeur) ne pouvaient pas fuir. Les médias et la population étaient toujours là à en demander plus, plus de drame, plus d’histoires croustillantes,... Mais entre vous et moi, une famille qui a vécu ses petits malheurs, qui a de la difficulté à joindre les deux bouts ne mérite-t-elle pas ce « conte de fée »? Ils ont eu la chance qu’un bon samaritain leur redonne le billet gagnant; pourquoi n’ont-ils pas eu la chance d’en profiter tranquillement en famille après les temps durs qu’ils venaient de traverser?
La télésérie Les Lavigueur la vraie histoire est une belle leçon de morale, qui nous fait comprendre qu’il faut savoir respecter les gens et qu’il faut avoir des limites face à la curiosité humaine. Oui l’histoire est peut-être romancé, mais les faits restent les mêmes. Malheureusement, malgré le recul, les tourbillons médiatiques sont encore utilisés à outrance au 21e siècle. Preuve que nous n’apprenons pas de nos erreurs...
À prime à bord, l’histoire est une «série télévisée », alors à proprement dit il faut savoir en prendre et en laisser. Pour rendre l’histoire intéressante aux yeux des téléspectateurs il est normal que l’auteur ait romancé le tout. Puisqu’il y a seulement deux membres de la famille Lavigueur (Yve et Sylvie) qui sont encore en vie, ils ne pouvaient pas être partout à la fois, c’est donc impossible de connaître la vraie vérité. Comment savoir, ou tout simplement se souvenir, comment Louise se sentait sous l’emprise de Johné ou savoir comment s’est senti Michel dans toute l’ampleur qu’a pris le tourbillon médiatique? Ils peuvent avoir une idée, un souvenir, mais encore là personne ne peut réellement savoir ce que les autres pensent ou ont pensés.
Ce qui est important à retenir de cette histoire c’est que chaque être humain a des sentiments. Il n’est pas juste de profiter de la naïveté des uns pour vendre des gros titres de journaux ou d’épier leur moindres faits et gestes dans le but de trouver une faille ou un moment inédit. Personne ne mérite d’être traité comme des animaux en cage. Comme le dit le dicton : «l’argent ne fait pas le bonheur», les Lavigueur n’ont même pas eu la chance de profiter du petit miracle qui leur est arrivé le 2 avril 1986. Le « conte de fée à 7 650 267$ », comme l’appelait le Journal de Montréal, a pris l’allure d’un cauchemar. Un cauchemar qu’ils (les Lavigeur) ne pouvaient pas fuir. Les médias et la population étaient toujours là à en demander plus, plus de drame, plus d’histoires croustillantes,... Mais entre vous et moi, une famille qui a vécu ses petits malheurs, qui a de la difficulté à joindre les deux bouts ne mérite-t-elle pas ce « conte de fée »? Ils ont eu la chance qu’un bon samaritain leur redonne le billet gagnant; pourquoi n’ont-ils pas eu la chance d’en profiter tranquillement en famille après les temps durs qu’ils venaient de traverser?
La télésérie Les Lavigueur la vraie histoire est une belle leçon de morale, qui nous fait comprendre qu’il faut savoir respecter les gens et qu’il faut avoir des limites face à la curiosité humaine. Oui l’histoire est peut-être romancé, mais les faits restent les mêmes. Malheureusement, malgré le recul, les tourbillons médiatiques sont encore utilisés à outrance au 21e siècle. Preuve que nous n’apprenons pas de nos erreurs...
dimanche 3 février 2008
Prélude?
Peut-être est-ce une raison de commencer mon appartenance à l'univer du blog, peut-êre est-ce simplement mon instinct de journaliste en herbe; qui aime tout anaylser...
C'est après avoir tant entendu parler de cet univers dernièrement dans mon entourage et c'est en revenant du spectacle de Dumas, hier soir, que j'ai eu une petite envie de faire un simple retour sur ce show qui m'a fait planer, voir même rêver.... Et qui ne m'a certe pas laissé indifférente....
Alors j'y vais comme suit....
****
C'est un spectacle intime et personnalisé qu'a offert Dumas au public de Trois-Rivières, samedi soir.
C'est au Théâtre du Cégep de Trois-Rivières que Dumas a livré sa performance, un des lieux où il a débuté sa carrière lorsqu'il était étudiant.
Devant une foule un peu timide par moment, le chanteur s'adressait directement au public, les invitant à se lever.
Pour aller chercher l'attention de tout le monde, Dumas n'a pas hésité à changer ses paroles de chansons pour y incorporer des lieux "typiquement trifluviens", comme le boulevard des Récollets, le Cap-de-la-Madeleine, le Coconut Bar, le Zénobe, etc. Difficile de ne pas se transposer dans sa musique lorsqu'on peut si facilement s’y identifier.
Le contact public-scène était omniprésent, Dumas a fait participer la foule, il les invitait à chanter et il s'amusait à faire rire : « Au nombre de gens qu’il y a ici ce soir, comparé à la population de Trois-Rivières, c’est comme jouer au Stade Olympique ! »
Le chanteur a offert un répertoire éclectique, passant par son album Le cours des jours, Fixer le temps et des chansons extraites de la bande sonore du film Les aimants et même la chanson Miss Ecstassy. Cette dernière qu’il a chantée pour l'une des premières fois devant public dans le cadre du concours Cégep en Spectacle en 1999, au Cégep de Trois-Rivières.
Malgré quelques blancs de mémoires (pour les 2 chansons extraites du film Les aimants) Dumas s’est repris en faisant chanter la foule, «le chœur de Trois-Rivières» , comme il s’amusait à dire.
Pendant presque 2h, Dumas et ses musiciens n'ont pas hésité à se donner corps et âme pour leur public.
Un spectacle, où la chimie était présente et où chacun se laissait transporter dans l’imaginaire des paroles.
***
Allez visiter pour voir (entendre) http://www.dumasmusique.com/
C'est après avoir tant entendu parler de cet univers dernièrement dans mon entourage et c'est en revenant du spectacle de Dumas, hier soir, que j'ai eu une petite envie de faire un simple retour sur ce show qui m'a fait planer, voir même rêver.... Et qui ne m'a certe pas laissé indifférente....
Alors j'y vais comme suit....
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C'est un spectacle intime et personnalisé qu'a offert Dumas au public de Trois-Rivières, samedi soir.
C'est au Théâtre du Cégep de Trois-Rivières que Dumas a livré sa performance, un des lieux où il a débuté sa carrière lorsqu'il était étudiant.
Devant une foule un peu timide par moment, le chanteur s'adressait directement au public, les invitant à se lever.
Pour aller chercher l'attention de tout le monde, Dumas n'a pas hésité à changer ses paroles de chansons pour y incorporer des lieux "typiquement trifluviens", comme le boulevard des Récollets, le Cap-de-la-Madeleine, le Coconut Bar, le Zénobe, etc. Difficile de ne pas se transposer dans sa musique lorsqu'on peut si facilement s’y identifier.
Le contact public-scène était omniprésent, Dumas a fait participer la foule, il les invitait à chanter et il s'amusait à faire rire : « Au nombre de gens qu’il y a ici ce soir, comparé à la population de Trois-Rivières, c’est comme jouer au Stade Olympique ! »
Le chanteur a offert un répertoire éclectique, passant par son album Le cours des jours, Fixer le temps et des chansons extraites de la bande sonore du film Les aimants et même la chanson Miss Ecstassy. Cette dernière qu’il a chantée pour l'une des premières fois devant public dans le cadre du concours Cégep en Spectacle en 1999, au Cégep de Trois-Rivières.
Malgré quelques blancs de mémoires (pour les 2 chansons extraites du film Les aimants) Dumas s’est repris en faisant chanter la foule, «le chœur de Trois-Rivières» , comme il s’amusait à dire.
Pendant presque 2h, Dumas et ses musiciens n'ont pas hésité à se donner corps et âme pour leur public.
Un spectacle, où la chimie était présente et où chacun se laissait transporter dans l’imaginaire des paroles.
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Allez visiter pour voir (entendre) http://www.dumasmusique.com/
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